Église Saint-Martin de Colombelles

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Église Saint-Martin
Vue du sud-ouest en 2009.
Présentation
Type
Destination initiale
Diocèse
Paroisse
Paroisse du Bienheureux-Marcel-Callo-du-Plateau (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Dédicataire
Saint Martin
Construction
XIIe, XIIIe siècles
Religion
Propriétaire
Commune
Patrimonialité
Localisation
Pays
Département
Commune
Coordonnées
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L'église Saint-Martin est une église catholique de l'art roman, située à Colombelles, dans le département du Calvados, en France. Datant des XIIe et XIIIe siècles, elle est inscrite au titre des monuments historiques.

Elle n'est plus ouverte au culte depuis 1963, année où fut consacrée, le 5 mai, la nouvelle église Saint-Pierre-Saint-Paul, située au centre-ville actuel de la commune. Néanmoins, l'église Saint-Martin sert de salle d'exposition ou de concert, notamment à l'occasion des Journées européennes du patrimoine.

Localisation[modifier | modifier le code]

L'église est située dans le département français du Calvados en Normandie. Elle s'élève à l'ouest du bourg de Colombelles dans le quartier dit du Bas Colombelles, le plus ancien de la commune, non loin de l'Orne et du bac qui permettait son franchissement.

Elle se trouvait alors au cœur de ce qui n'était encore qu'un hameau le long de l'Orne, sur la route dite des Bouviers allant de Bayeux à Varaville. Le bac permettait en effet le franchissement du fleuve tout autant au bétail qu'aux personnes.

L'église fut édifiée sur des terres qui appartenaient à l'abbaye du Plessis-Grimoult[1].

L'église Saint-Martin de Colombelles sur la carte de Cassini (milieu du XVIIIe).

Historique[modifier | modifier le code]

Ainsi qu'en ferait foi sa dédicace à saint Martin, cette église remonterait aux XIIe/XIIIe siècles. Ses parties les plus anciennes sont d'ailleurs caractéristiques de l'art roman. Elle a néanmoins subi quelques transformations comme le remaniement du chœur à l'époque classique et l'adjonction d'une chapelle latérale en 1828.

L'église a été élevée entre le bac qui permettait de franchir l'Orne au droit d'Hérouville et la ferme du prieuré qui dépendait de l'abbaye du Plessis-Grimoult. Elle a été construite en plusieurs phases : successivement, la nef pour les offices, la tour pour la défense et le chœur, puis, plus tardivement, la sacristie dans la seconde moitié du XVIIe siècle et la chapelle latérale au deuxième quart du XIXe siècle[2].

Jusqu'à la Révolution « la cure était à la nomination de l'abbaye du Plessis qui percevait aussi les dîmes, à l'exception d'un trait qui était dévolu au prieur-curé »[3] (un trait est une part de la dîme, au pourcentage variable). Par la suite, les curés ont été nommés par l'évêque de Bayeux. Le dernier curé de Saint-Martin, le Père Léon Jaunatre, nommé en 1957, est devenu le premier curé de Saint-Pierre-Saint-Paul en 1963. Deux de ses desservants sont inhumés dans le cimetière attenant : l'abbé Joseph Lemoine (nommé en 1830 et décédé dans son ministère en 1847) et l'abbé Eugène François Déclomesnil (curé de 1879 à 1919 et décédé en 1920)[2].

Au début de la Seconde Guerre mondiale, l'abbé Joseph Leroy, nommé curé de Saint-Martin en 1933, est rappelé sous les drapeaux en 1939 et participe aux combats de 1940. Démobilisé, il retrouve sa paroisse et avec l'aide de mères de famille, il sert la soupe populaire aux enfants privés de père, qu'il soit au combat, prisonnier de guerre ou requis pour le service du travail obligatoire (STO). Parallèlement, il s'engage dans la Résistance et intègre le groupe de Giberville. A la Libération, reconnaissant sa conduite exemplaire, le préfet du Calvados l'appelle à compléter provisoirement le conseil municipal de Colombelles. Il y exerce la fonction de maire-adjoint jusqu'aux élections d'octobre 1947. Bien que natif de Cricqueville-en-Bessin, il émet le vœu de reposer à Colombelles où il est inhumé le au pied de la croix du nouveau cimetière, rue Jules Guesde[2].

Lors des opérations du Débarquement, l'église Saint-Martin subit plusieurs bombardements qui se sont échelonnés du Jour J au , date de la libération de Colombelles par les Canadiens. L'importance des dégâts causés par les Alliés a justifié l'attribution de dommages de guerre pour une somme de 417 824 francs[1]. Des transformations intérieures ont été alors entreprises à la demande du P. André Dugimond, successeur de l'abbé Leroy, qui a desservi la paroisse de 1949 à 1955 : elles sont détaillées dans une lettre que le prêtre adressa le au maire de l'époque, Aristide Himbaut. Conformément aux préconisations du Père, la sacristie a été remplacée et un nouveau catafalque a été acquis, l'ancien ayant été détruit. Le chœur a été séparé du transept par une draperie de velours suspendue à une grille en fer forgé installée sous l'ogive centrale de la nef. Symbolisant l'Eucharistie, cette grille a été réalisée d'après un dessin de Serge Himbault, artiste qui a aussi élaboré les armoiries de la commune de Colombelles à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Les deux autels latéraux ont été supprimés au motif qu'ils étaient « compliqués, d'ornementations sans style » et de « mauvais effet dans une nef où tout devrait être simple ». Ils ont eux aussi été remplacés par une draperie supportée de même par deux motifs en fer forgé. L'ancien chemin de croix en plâtre polychrome, jugé « quelconque » a été supprimé et remplacé en 1950 par des peintures murales, exécutées également d'après des dessins de Serge Himbault[4].

Ces aménagements intérieurs coïncident avec l'arrivée de prêtres de la Mission de France, proches du monde ouvrier, qui prônent la simplicité tant dans l'aménagement des lieux de culte que dans l'approche et le déroulement de la liturgie.

Avec l'augmentation de la population, l'église Saint-Martin s'avère insuffisante à l'accueil des paroissiens. Le besoin d'une nouvelle église, plus proche du nouveau centre de la commune qui s'est déplacé vers le Plateau, se fait sentir dès les années 1950. Des négociations entre le diocèse et la municipalité sont entreprises et aboutissent en 1949 à la cession d'un terrain à l'angle de la rue Léon Blum alors naissante et de la future rue de la Cité-Libérée. Le permis de construire est déposé en 1960 et la nouvelle église, placée sous la dédicace de saint Pierre et saint Paul, est achevée et consacrée en mai 1963[2].

Saint-Martin n'est plus affectée au culte catholique mais le diocèse de Bayeux et Lisieux en est toujours affectataire. Depuis le début des années 2020, une messe annuelle y est célébrée à l'occasion de la fête de la Saint-Martin d'été.

Architecture[modifier | modifier le code]

L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques depuis le [5].

Orientée nord, de plan simple, l'église comporte dès l'origine une nef suivie d'une tour carrée qui surplombe une travée sous clocher et un chœur à chevet plat.

La façade[modifier | modifier le code]

Côté extérieur, la façade, encadrée par deux contreforts, comporte un portail pourvu de deux rangs d'archivolte au décor, respectivement, de zigzags et de frettes crénelées, reposant sur de fines colonnes. Le portail est surmonté de cinq baies dont les trois centrales sont aveugles. Au-dessus de la baie aveugle centrale se trouve une ouverture plus étroite et rectangulaire qui est pourvue côté intérieur d'un vitrail du XXe siècle représentant saint Martin. Toujours au revers de la façade, de part et d'autre de la porte, les arcatures romanes sont en plein cintre à gauche et en arc brisé à droite.

La nef[modifier | modifier le code]

La nef, comme le chœur, est pourvue d'une charpente apparente dont la plupart des éléments remonte à son édification[1]. Elle présente de chaque côté une arcature romane en plein cintre dissimulée au XVIIe siècle par des boiseries qui ont été déposées en 2004 en raison de leur infestation par des champignons[1]. La voûte est en pierres taillées sur croisées d'ogives, annonçant la transition vers l'art gothique. Les murs gouttereaux sont scandés à l'extérieur par des contreforts. Côté nord, face à la grille d'entrée à l'enclos paroissial, le mur présente un portail, aujourd'hui condamné, au décor semblable à celui du portail ouest. Les colonnettes qui supportent la double architrave ont des chapiteaux historiés.

La tour et la travée sous clocher[modifier | modifier le code]

La tour, de section carrée, témoigne des temps troublés en lesquels l'édifice fut construit : il s'agissait d'une tour de guet qui devait permettre de détecter les possibles envahisseurs ou assaillants.

Il apparaît que la tour a été remaniée au XIIIe siècle : à l'extérieur, les pierres se situant en partie haute au-dessus des contreforts sont taillées de manière différente et à l'intérieur, les piles romanes d'origine ont été conservées dans une maçonnerie dissimulée dans des colonnes gothiques qui viennent les conforter. Ce travail de reprise a eu pour effet de réduire la vue sur le chœur depuis la nef. Aussi les colonnes ont-elles été soigneusement sciées à leur base avec un profil en amande[1].

En 1822, de nouveaux travaux sont entrepris afin de transformer la tour en clocher. La tour est coiffée en bâtière, percée de lucarnes pourvues d'abat-son. Les deux pignons sont surmontés d'une petite croix de pierre. Une sonnerie de trois cloches est installée en 1892[1].

Le chœur[modifier | modifier le code]

Le chœur a été transformé au XVIIe siècle avec la destruction de la voûte et l'agrandissement des baies. C'est à cette époque qu'il est pourvu d'un maître-autel d'une grande sobriété stylistique, qui s'appuie au mur de chevet[2].

La sacristie[modifier | modifier le code]

Une inscription découverte fortuitement lors de travaux de réfection des sols exécutés en 2009 permet d'en connaître la date précise : « Fleury Rosée y a fait faire cette sacristie en l'an 1663 ». Elle est adossée, au sud, au mur extérieur du chœur avec lequel elle communique par deux portes.

La chapelle latérale[modifier | modifier le code]

Côté ouest du chœur, la chapelle latérale a été construite en 1828 par le comte et la comtesse de Laistre, en mémoire de leur fille, Ambroisine[1]. Elle est dédiée à saint Joseph.

Mobilier[modifier | modifier le code]

Mobilier liturgique[modifier | modifier le code]

La chapelle a gardé son maître-autel avec retable tripartite du XVIIe siècle porté par deux colonnes d'ordre corinthien. La grande toile centrale du retable, volée en 1986, était signée de Jean-François Restout et représentait le rêve de saint Martin. Deux petits tableaux figuraient au-dessous, dérobés au début du XXe siècle : l'un dû au moine Andrea de Bally, représentait le Christ apparaissant à saint Martin adolescent ; l'autre, l'annonciation[1].

L'église a gardé ses fonts baptismaux dont la cuve à aspersion circulaire se trouve en partie encastrée dans le mur de la nef, près de l'entrée.

Demeurent de même le confessionnal et la tribune financée en 1854 par la famille de Laistre.

Statuaire[modifier | modifier le code]

Charité de saint Martin.

De part et d'autre du maître-autel, deux niches abritent respectivement la Vierge foulant le serpent (plâtre du XIXe siècle) et un saint Jean du XVIIe siècle.

Au chevet se dressent deux statues en plâtre placées au milieu du XIXe siècle : sainte Marguerite et saint Gabriel.

L'œuvre la plus importante de l'église reste un haut-relief du XVIe siècle, connu sous le vocable de Charité de Saint-Martin. Cette sculpture se trouvait initialement et jusqu'à la Seconde Guerre mondiale à l'extérieur de l'église, sur une console située au-dessus du portail nord désormais muré, appelé « portail Saint-Martin », qu'empruntaient les processions funéraires pour gagner le cimetière[1]. Cette charité a été classée « monument historique » au titre des objets par arrêté du [6].

Peintures murales[modifier | modifier le code]

Tout autour de la nef figure le chemin de croix peint dans l'immédiat après-guerre dans l'esprit du modernisme naissant des années 1950. Quatorze stations sont réparties en cinq groupes reliés entre eux par des raccourcis graphiques narrant la montée de Jésus au Calvaire.

Vitraux[modifier | modifier le code]

La nef présente un programme de vitraux du XXe siècle non datés et dont l'atelier n'est pas connu. Abstraits, ils symboliseraient la métallurgie, l'habitat ouvrier, l'agriculture, le chantier naval et le Débarquement[1]. Plus figuratif, le vitrail situé au revers de la façade représente saint Martin en soldat, enveloppant le mendiant de la moitié de sa chlamyde.

Dans la travée sous clocher, les quatre baies sont pourvues de vitraux réalisés par André Ripeau, maître-verrier à Versailles et confrère de Max Ingrand. Entre art figuratif et art abstrait, ils représentent les quatre évangélistes : Luc, Mathieu, Marc et Jean[2]. André Ripeau (1910-1993) ayant repris l'atelier de son père, Henri[7], à partir de 1950, ces vitraux ont vraisemblablement été réalisés dans l'après-guerre[8].

Cloches[modifier | modifier le code]

Les inscriptions gravées sur la robe des cloches précisent qui les a offertes. Il s'agit respectivement de l'épouse d'Hippolyte Monin, maire de la commune de 1884 à 1889, des « jeunes-gens de Colombelles » qui se sont apparemment cotisés lors d'une souscription publique et de la comtesse Antoinette Louise Marie de Laistre. La cloche offerte par madame Monin a été fondue à Villedieu-les-Poêles dans la Manche.

Ameublement[modifier | modifier le code]

Les trois grilles en fer forgé destinées à maintenir les draperies voulues par le P. Dugimont sont toujours en place dans l'église.

Par contre, les bancs réalisés par un ébéniste colombellois, Endoseai Marlon, auraient été cédés à la commune proche de Petiville où ils auraient retrouvé leur destination[1] en l'église Notre-Dame.

Animation du monument[modifier | modifier le code]

L'animation et la valorisation culturelles du monument sont assurées par l'association déclarée « Les Amis de la Tour »[9], association créée le qui s'est donné pour objectif de contribuer à l'inventaire, la conservation, la restauration et l'animation des patrimoines historiques, culturels, architecturaux et environnementaux de Colombelles et d'en assurer la mise en valeur[10].

L'association organise des manifestations culturelles au sein du monument : concerts, chorales, expositions de peintures et de photographies, ateliers autour du patrimoine.

Elle veille par ailleurs à l'illumination de l'édifice et à son animation à l'occasion

Cimetière Saint-Martin[modifier | modifier le code]

Il est vraisemblable que sa création est contemporaine de la construction de l'église. Le recensement départemental effectué par les services de la préfecture du Calvados en 1804 permet d'en avoir une description détaillée : il est d'une superficie de 30 perches carrées (1 532 m2), se situe au sud, à mi-côte, à 20 toises (38,8 m) de l'habitation la plus proche, se trouve clôturé par un mur de 8 pieds (2,60 m de hauteur) et tire ses revenus de vingt pommiers et poiriers dont la récolte fait l'objet d'une adjudication annuelle.

Les comptes annuels du conseil de fabrique qui gère les biens et revenus de la paroisse jusqu'à la création du conseil de paroisse font bien état de ce fermage de cimetière dans la colonne des recettes.

Le cimetière a été désaffecté en 1938[1] un nouveau ayant été créé rue Guesde.

En 2002, la commune de Colombelles a lancé la procédure de reprise des concessions abandonnées et un inventaire des tombes a été dressé.

La famille de Laistre compte huit tombes de type sarcophage à Saint-Martin. Les plus remarquables sont la tombe de Marie-Françoise de Bullion, veuve de Joseph de Laistre, morte le , la plus ancienne du cimetière, et celle d'Anne-Joseph de Laistre, comte de Fontenay, capitaine au régiment de cavalerie « Bourbon-Bussay », chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, décédé le . Les comtes de Laistre furent propriétaires du domaine de Colombelles de 1732 à 1894. Deux membres de cette famille ont été maires de Colombelles de 1808 à 1838 et de 1878 à 1888. En 2000, les tombes des de Laistre furent rénovées par une descendante de la famille[1].

D'autres tombes plus insolites attirent l'attention avec leur croix orthodoxe et leur épitaphe en caractères cyrilliques. Ce sont les sépultures de Russes blancs, exilés en France, qui ont travaillé à la Société métallurgique de Normandie. Parmi elles se trouvent les sépultures de cosaques du Don et de l'Ukraine [13].

Dans le cadre de la préparation du Débarquement, vingt-deux soldats britanniques trouvèrent la mort à Colombelles dans la nuit du , leur avion ayant été abattu par la DCA allemande dans le champ en contrebas du cimetière Saint-Martin. Ils furent enterrés dans une fosse commune jusqu'à leur transfert au cimetière de Ranville en 1952.

En 2004, la commune a entrepris des travaux pour mettre le cimetière en valeur en le transformant en espace de promenade et de méditation.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j k l et m Carol Pitrou et Jacques Munerel, Colombelles, Mémoire en images, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 978-2-8138-0078-7)
  2. a b c d e et f Jean Margueret, Association Les Amis de la Tour (photogr. Florent Lustière, Documents : Andrée et Jean Lustière), La paroisse Saint-Martin de Colombelles depuis le Moyen Age, Cabourg, Cahiers du Temps, , 95 p. (ISBN 978-2-35507-046-4), p. 23, 27, 30, 44, 53-54, 91.
  3. Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. II, Caen, A. Hardel, , 622 p., p. 32
  4. lettre reproduite dans l'ouvrage des Amis de l'Association de la Tour en pages 36 et 37;
  5. « Église Saint-Martin », notice no PA00111233, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  6. Ministère de la culture, « Haut-relief : la Charité de saint Martin », sur https://www.pop.culture.gouv.fr/,
  7. Henri Ripeau avait lui-même repris l'atelier Dupin vers 1920.
  8. Fanny NAIT LHADJ, « "L’immense cortège de tous les saints" », sur Catholique 95, (consulté le )
  9. « Les Amis de la Tour », sur annuaire-entreprises.data.gouv.fr (consulté le )
  10. « Accueil - Les Amis de la Tour Colombelles », sur lesamisdelatour-colombelles.eklablog.fr (consulté le )
  11. « Nuit des églises : « Faire découvrir le patrimoine religieux et le message chrétien » », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  12. « Le Festival - Pierres en Lumières », sur Pierres en Lumières - 17, 18 & 19 mai 2024 | Une découverte nocturne du patrimoine normand, (consulté le )
  13. « Les tombes orthodoxes du cimetière Saint Martin », sur colombelles.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. 2, Caen, Hardel, (lire en ligne), p. 30-32.
  • Carol Pitrou, Jacques Munerel, Colombelles, Mémoire en images, Éditions Alan Sutton, 2009.
  • Les Amis de la Tour, La paroisse Saint-Martin de Colombelles depuis le Moyen Âge, textes de Jean Margueret, Éditions Les Cahiers du temps, Cabourg, 2012.